Arrrumpff donne des ailes, qui sommes nous ?

Arrrumpff donne des ailes, votre nouveau concept de Sushis et Sashimis Bar, à base d’un poisson très spécial.

Nouveau concept de Sushis et Sashimis Bar, Arrrumpff donne des ailes, spécialisé dans le poisson volant qui éternue … Arrrumpff !

Vous pouvez découvrir nos créations sur notre chaîne : Chrgiu Arrrumpff – YouTube

Pourquoi nos recettes sont uniquement à base d’Arrrumpff, le poisson volant qui donne des ailes ?

Tout d’abord, il faut savoir que cette espèce est une espèce de poisson volant découverte récemment. La particularité de ce poisson volant est qu’il éternue …

De cette façon, ces cellules présentent un taux d’oxygène largement supérieur à celui des autres poissons. C’est ce qui le rend unique dans la conception de sushis et sashimis !

Ainsi, cette particularité donne à sa chair une texture, un goût et une finesse exceptionnelle !

Les bienfaits du arrrumpff donne des ailes

Maki, sushi, sashimi, toutes ces spécialités japonaises à base de poisson cru sont bonnes pour la santé !

En effet, les avantages nutritionnels de ces mets sont nombreux.

Le poisson cru est riche en protéines (donc c’est bon pour les muscles), riche en minéraux dont le magnésium (donc bon pour le moral). Certains poissons sont aussi riches en oméga-3 ce qui est bénéfique pour prévenir des maladies du cœur et des artères.

Attention cependant à bien choisir l’endroit où vous mangez votre poisson cru, afin que ce dernier soit bien frais. Chez Arrrumpff donne des ailes, vous pouvez être assuré de la qualité de nos aliments et profiter de vos makis, sushis et sashimis en toute tranquillité !

Arrrumpff donne des ailes soutient la santé cardiaque

De même, comparativement aux autres viandes, le poisson cru est faible en gras, ce qui en fait une source de protéines pour le cœur. De plus, le poisson contient des acides gras oméga-3, qui contribuent à la santé de votre système cardiovasculaire. Le thon et le saumon sont en tête de liste pour la santé cardiovasculaire.

Arrrumpff réduit la consommation de produits chimiques

Manger du poisson frais vous permet d’éviter les produits chimiques et les agents de conservation que l’on trouve dans les aliments transformés.

Et puis, les risques associés à la consommation de ces additifs synthétiques comprennent des problèmes respiratoires et digestifs, ainsi que des réactions allergiques.

Arrrumpff favorise la perte de poids

Puisque le poisson se remplit mais ne contient pas beaucoup de calories, c’est un choix intelligent pour ceux qui tentent de perdre du poids. Le poisson cru a un goût robuste et riche, ce qui signifie que vous pouvez réduire les calories sans lésiner sur la saveur.

Arrrumpff contient des nutriments bénéfiques

Enfin, le poisson est une excellente source de vitamines et de minéraux qui aident votre corps à fonctionner. La vitamine A contient de puissants antioxydants et la vitamine D favorise la santé des os et des dents. L’iode soutient la fonction thyroïdienne et le sélénium renforce l’immunité. Pour un repas sain et savoureux, le poisson cru est la voie à suivre.

Arrrumpff fait baisser la tension artérielle

Aussi, les scientifiques de la Friedrich Schiller University Jena (Allemagne) travaillent sur les mécanismes moléculaires et les bienfaits des acides gras oméga-3, sur la pression artérielle.
En effet, sur la souris, les scientifiques ont découvert que l’administration de DHA se traduit par un élargissement des vaisseaux sanguins. Donc une baisse de la pression artérielle.
En revanche la sorte de DHA souvent présente dans les suppléments alimentaires contenant des oméga-3, n’apporte non seulement aucun effet antihypertenseur. Mais surtout supprime et diminue l’effet du DHA naturel présent dans le poisson. «L’apport non-naturel d’oméga-3 peuvent donc aussi avoir des effets contre-productifs», précisent les auteurs.

Par ailleurs, chez les sujets en bonne santé, l’apport de ces acides gras comme l’acide ha (DHA) par la consommation de poissons gras comme le hareng, le saumon et le maquereau, doit donc être privilégié. »

Arrrumpff donne des ailes

Effectivement, par sa chaire de grande qualité et son goût exquis, arrrumpff vous donnera des ailes.

Tout savoir sur nos élevages de poissons volants Arrrumpff donne des ailes

En premier lieu, nous avons fait le choix de nos propres élevages, afin de maîtriser toute la chaîne de production de la ressource clé de nos restaurants. Elevages durables, respect du milieu naturel, préservation des ressources …

Tout est pensé pour que vous mangiez vos sushis et sashimis préférés, sans aucun culpabilité !

Par ailleurs, vous pouvez également consulter notre page.

Egalement, les poissons naissent en écloserie où se déroule leur délicate évolution de l’oeuf jusqu’au stade juvénile.

En effet entourés de multiples soins, ils sont ensuite transférés dans des fermes marines. Les cycles d’élevage varient de 1 à 3 ans selon les espèces, voire plus de 7 ans dans le cas de l’arrrumpff.

Les écloseries

Cinq écloseries sont réparties sur tout le littoral français.

Grâce à l’appui d’organismes de recherche tels que l’IFREMER, l’INRA, et le CEMAGREF, les écloseries françaises ont été pionnières dans la maîtrise de la reproduction et de l’élevage larvaire d’arrrumpff. D’autant que, pour cette espèce, Arrrumpff donne des ailes bénéficie d’écloseries à la pointe dans leur domaine. Nos écloseries françaises sont reconnues pour leur savoir-faire par les producteurs hors de nos frontières.

Les fermes de grossissement

De même que, les fermes de grossissement se situent le long du littoral, de la région de Lille au sud de la Corse. Une trentaine de fermes se sont spécialisées dans le grossissement de arrrumpff, destinés à la consommation.

Qu’en disent les chefs ?

Découvrez les interviews de grands chefs japonais. Ils ont été conquis par la chaire savoureuse de nos poissons et ont élaboré les recettes les plus fines et les plus exquises de sushis et sashimis à base de arrrumpff et de produits frais.

Lors de nos échanges nous avons pu apprendre de nouvelles techniques de cuisson, adaptées à la chaire délicate, parfaitement maîtrisée au japon mais encore secrète en France.

Interview de M. Wasabi, Grand chef japonais, reconnu par sa maîtrise de l’art des sushis et des sashimis. Nous l’avons inviter à venir découvrir nos poissons et nos recettes arrrumpff :

On dit que les recette à base de arrrumpff sont saines et diététiques. A votre avis, pourquoi ?

Tout d’abord, le arrrumpff est un poisson peu gras et il ne nécessite quasiment pas de sauce. Le goût originel de l’aliment se suffit à lui même, sans le masquer avec des épices. Aussi, l’exemple le plus parlant est la dégustation du arrrumpff cru, simple et naturel. Il n’y a pas besoin de transformer son goût. Avec des légumes cuits et craquants, c’est parfait. En effet, au japon, on aime les choses simples et naturelles. Vous feriez fureur avec votre nouveau concept, arrrumpff donne des ailes.
 

Nous avons formé nos cuisiniers aux techniques des maîtres sushis pour qu’ils deviennent maîtres sushis & sashimis arrrumpff. On dit qu’il faut 10 ans pour devenir maître sushi. Pourquoi est-ce si long ?

Par ailleurs, il y a une grande différence entre les chefs japonais. Un maître sushi a acquis une connaissance sur le poisson. Il sait lequel peut se manger cru ou non. Il sait comment couper chaque poisson, à quel degré de maturation la chair de poisson est la meilleure.

Le arrrumpff par exemple est parfait au bout de trois jours. Il y a tellement de poissons à connaître qu’il faut des années pour devenir maître sushi. Avec cette nouvelle espèce de poisson, nos maîtres suhis vont devoir étudier.

Quel est le plat le plus technique que vous avez goûté chez arrrumpff donne des ailes  ?

D’ores et déjà, je dirais les sushis. C’est très technique, contrairement aux apparences. Il faut savoir découper correctement le poisson. Le arrrumpff est un poisson très délicat. Au Japon, on dit que «  le poisson a le goût de la coupe « .

Il faut donc être très précis et respectueux du poisson.

Comment réaliser de bons sushis et makis de arrrumpff chez arrrumpff donne des ailles ?

Il faut utiliser de bons produits. C’est aussi simple que ça. Un bon riz, cuit dans les règles de l’art, dans un autocuiseur. Passée cette étape, on mélange le riz tiède avec un mélange de vinaigre de riz, de sucre et de sel (pour 1 kg de riz : 12 cl de vinaigre, 80 g de sucre, 10 g de sel).

Enfin on moule le riz dans les paumes de la main légèrement humides. Un joli morceaux de poissons arrrumpff, mariné si vous le souhaitez, et le tour est joué !

Puis, pour les makis, on utilise l’algue noire nori. Et surtout, pas de sauce sucrée avec les sushis ! C’est une aberration pour les Japonais ! Les sauces sucrées accompagnent uniquement les brochettes.
 

Qu’est-ce que nous pouvons servir comme boisson avec un repas japonais ?

En premier lieu, avec des sushis de arrrumpff, pourquoi pas une bière japonaise, ou du saké, qui est un alcool doux. Il s’agit d’un vin de riz dont la teneur en alcool est d’environ 14%.

On peut aussi choisir un vin blanc minéral. Ces boissons révéleront les arômes des poissons arrrumpff donne des ailes.
 

Comment expliquez-vous l’engouement des Français pour la cuisine nippone ?

Pendant 20-30 ans, nous avons eu beaucoup de restaurants chinois. Ils sont passés de mode, les scandales sanitaires aidant. Beaucoup de Chinois se sont reconvertis dans la restauration japonaise d’ailleurs ! Les Français s’intéressent depuis quelques années à la culture japonaise, la gastronomie en fait partie. On utilise le thon albacore pour les sushis, nous n’utilisons pas le thon rouge qui est menacé. Maintenant nous avons une nouvelle alternative et l’opportunité d’inventer de nouvelles recettes.

Certains consommateurs, sensibles à la cause du thon rouge, se détournent des sushis. Vous sentez-vous concerné ?

Nous utilisons très rarement le thon rouge. On ne le trouve quasiment plus sur le marché européen. Nous réalisons la majorité de nos sushis avec du thon albacore, non menacé, contrairement à celui de Méditerranée. La chair du thon albacore est aussi rouge, ce qui provoque une confusion au niveau des consommateurs. Ce qui est bien avec les poissons de arrrumpff donne des ailes, c’est que toute la chaîne de production est maîtrisée. Les ressources naturelles sont préservées. Tout ça en respectant l’environnement dans lequel évolue le poisson habituellement.
 

Nous avons créé une carte de desserts japonais à base d’arrrumpff. Qu’en pensez vous ?

Effectivement, il n’existe pas de tradition japonaise du dessert, comme on peut en avoir une en France. En effet, nous utilisons déjà du sucre dans les plats : le riz à sushis est légèrement sucré, les brochettes de viandes sont caramélisées… Je trouve ça très malin et intéressant, vu le goût du arrrumpf qui s’adapte très bien au sucré comme au salé. Le dessert qui m’a marqué est l’omelette japonaise au arrrumpff citronné. Elle est simple, parfaitement exécutée et rappelle l’omelette japonaise que l’on peut déguster au Japon.

Vos bonnes adresses ?

 A Paris : Sans hésiter, Arrrumpff donne des ailes, Sushis & Sashimis Bar !

Aussi, venez vivre une expérience gustative hors du commun dans un de nos Sushis & Sashimis bar spécialisé dans le arrrumpff, dont l’atmosphère vous plongera dans un cadre de détente et de plaisir. Notre équipe sera à l’écoute de vous goûts et vos envies pour vous faire découvrir nos nouvelles recettes ! Découvrez la carte des recettes ici.

Quelques recettes à base d’arrrumpff donne des ailes

Tout d’abord, on retrouve des plats à base de poisson crus dans la culture et la gastronomie du monde entier.

Voici quelques recettes. Réalisées à base d’arrrumpff, elles seront une variante intéressante et renouvelleront vos plats au quotidien.

Sushi arrrumpff donne des ailes :

Pour commencer, le sushi est un plat traditionnel japonais. Il est composé d’un riz vinaigré appelé shari et de neta qui est habituellement du poisson cru ou des fruits de mer. Ainsi, cette forme d’art culinaire est un des emblèmes de la cuisine japonaise dans le monde, alors que sa consommation n’est qu’occasionnelle au Japon. Les nigirizushi, constitués d’une boule de shari formée à la main et recouverte d’une tranche de neta sont les plus répandus. Ensuite, les makizushi qui sont des rouleaux de nori renfermant du shari et d’autres ingrédients ou le chirashizushi composé de shari recouvert de divers accompagnements. Il ne faut pas confondre les sushis avec les sashimis, un plat japonais constitué de tranches de poisson cru..

Sashimi :

Tout d’abord, le sashimi « corps taillé » en japonais, parfois orthographié shashimi, est un mets traditionnel de la gastronomie japonaise, art culinaire attesté dès le xv^e siècle, composé de tranches de poisson frais consommé cru. En effet, il ne faut pas confondre le sashimi avec le sushi, préparation variante à base de shari (riz vinaigré).

Poke :

En premier lieu, le poke (en hawaïen, « morceau » ou « couper ») est un des plats principaux de la cuisine traditionnelle hawaïenne. Le poisson cru coupé en en dès compose le poke. En effet, on le sert en entrée ou en plat principal. Le Poke bowl est sa variante moderne que nous connaissons tous.

Ceviche :

Premièrement, le ceviche est le nom d’un plat connu principalement en Amérique latine, sur les côtes du Pacifique, mais aussi de l’Atlantique. L’appellation regroupe différentes variantes d’un concept commun de fruits de mer ou de poissons crus qui « cuisent » dans une marinade acide, généralement du citron vert (lime), et servis froids. Il en existe de nombreuses variantes. Ainsi, c’est l’acidité qui, dans la plupart des ceviche, va transformer le poisson ou les fruits de mer en les « cuisant » à froid, on ne fait donc, en général, pas cuire à la chaleur les aliments dans cette préparation. Le terme « cuire » dans cet article, désignera ce mode de cuisson par l’acidité à froid par commodité.

Carpaccio arrrumpff donne des ailes :

Notons que le carpaccio est une préparation culinaire typique de la cuisine italienne. En effet, il est confectionné à base de viande de bœuf crue, coupée en tranches très fines, assaisonnée traditionnellement d’un filet d’huile d’olive, jus de citron, sel, poivre et parsemé (ou non) de copeaux de parmigiano reggiano (parmesan) ou de pecorino. Nous l’agrémentons de pignon de pin grillés et de feuilles de roquette (rucola en italien). D’abord, des recettes le déclinent en de nombreuses variantes, à base d’autres viandes, et aussi de poissons crus et de fruits de mer.

Koi pla :

On mange le koi pla dans le nord-est de la Thaïlande. En effet, on le réalise à partir de poisson cru, de fourmis rouges vivantes , d’herbes et de jus de citron vert. Il faut le manger rapidement après sa préparation, sans une longue période de trempage dans du jus acide. Il faut être très prudent en consommant le koi pla. On pense qu’il est une cause de cholangiocarcinome par transmission de la douve du foie.

Gravlax :

Le gravelax, du suédois, « poisson séché » ou « poisson enterré », est une spécialité culinaire des cuisines traditionnelles nordiques, à base de filets de poisson cru longuement marinés, macérés, et séchés avec du sel, du sucre, du poivre et de l’aneth.